Selon des sources citées par le Financial Times, la puce est une version modifiée de son Blackwell RTX Pro 6000, reconfigurée pour se conformer aux nouvelles restrictions à l’exportation américaines introduites sous la présidence de Donald Trump.
Le PDG Jensen Huang devrait se rendre en Chine plus tard cette année pour participer à l’Exposition internationale de la chaîne d’approvisionnement de Pékin, où il pourrait également rencontrer des hauts responsables, dont le Premier ministre Li Qiang et le vice-premier ministre He Lifeng, dans le cadre des efforts diplomatiques de Nvidia.
La puce axée sur la Chine exclurait apparemment des fonctionnalités haut de gamme telles que la mémoire à large bande passante et NVLink, afin de rester dans les limites réglementaires.
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Les ventes ne devraient pas commencer avant septembre, dans l’attente d’un accord de Washington. Malgré les spécifications réduites, l’intérêt des clients chinois est apparemment élevé, les premiers échantillons étant déjà testés.
Cette démarche souligne l’équilibre délicat de Nvidia : conserver des parts de marché mondiales tout en naviguant dans les restrictions américaines croissantes sur les exportations de semi-conducteurs avancés.